Présentation
Monsieur et Madame Stutberd forment un couple à la dérive qui décide d'aller consulter un psychologue, Fabien Cochoui, pour tenter de résoudre les conflits qui les opposent (capsule «thérapie de couple »).
Ils sont mariés, non pas à l'église mais par erreur. Leurs seuls mots quelque peu affectifs sont «parfois je t'aime ».
Le couple pense à retourner chez le notaire prochainement à fin de mettre fin à leur mariage. On relèvera qu'en droit français, un divorce ne se fait pas chez un notaire.
Les reproches de Monsieur
Monsieur reproche à madame de le faire chier continuellement, ce à quoi Madame répond par un cinglant «je, qu'il aille se faire foutre ».
Monsieur reproche à Madame de lui mentir en permanence. Il lui impute également sa tension trop élevée.
Les reproches de Madame
Madame, pour sa part, reproche notamment à Monsieur d'être constamment en érection, ce qui la répugne. Pour elle, la solution serait de « tuer sa bite ».
Un couple qui ne se comprend plus
D'accord sur rien, le couple diverge sur tout, ainsi, selon que l'on écoute l'un ou l'autre:
ils sont ensemble depuis 6 ou 8 ans;
ça va mal entre eux depuis 6 mois ou 3 ans;
ils se sont séparés 2 ou 18 fois;
2 et 2 font 4 ou 3;
En revanche, ils parviennent encore à se retrouver sur un point : l'artiste qui leur tape le plus sur les nerfs est Patrick Bruel.
Les correspondances épistolaires du couple
A la demande de Fabien Cochoui, le couple a ramené deux correspondances qu'ils se sont échangés : l'une, au début de leur romance, l'autre récemment. Les deux sont ainsi rédigés:
«Tu vas voir, salope, ce que tu vas prendre, espèce de grosse vache ». La femme du couple interprète la première correspondance comme un jeu érotique alors qu'elle considère la seconde comme une menace.